Il n’aurait fallu que quelques heures, après son arrivée à Tripoli, pour que les voix s’élèvent et demandent au gouvernement libyen de salut national et à son président Fayez sarraj de se rendre ou de quitter les lieux.
Arrivé par voie maritime, mercredi 30 mars 2016, le gouvernement de transition a été vite rejeté par Khalifa el-Ghwell, chef du gouvernement non reconnu par la communauté internationale et siégeant à Tripoli. Il a qualifié d’illégal le gouvernement de Sarraj lui demandant de quitter la capitale libyenne, au plus tôt.