Contrairement aux diffamations de « Jeune Afrique » : Ghannoushi parle français et anglais aussi par Souad Ben Salah

Maghreb news Tunis

L’ ex ministre de Bourguiba et patron du groupe Jeune afrique , Behir Ben Yahmed , avait publié dans sa revue un long article sur le phénomène « Islam Politique » en Tunisie . Cet article mérite d’ être lu et discuté , même s’ il adopte les thèses néocoloniales et euro centristes faisant confusion entre Islam , démocrates musulmans , intégrisme, terrorisme, et violence …

Toutefois l’ article de Bechir ben Yahmed est tombé dans le piège des « volontaires » qui lui avaient des diffamations .

La plus flagrante est celle que « le président du mouvement Nahdha ne comprend ni le français ni l’ anglais »( !!!) et qu’ il est est unilingue( ???)

Maghreb news a appris de source proche de Rached Ghannouchi que Bechir Ben Yahmed a tout simplement diffusé un connerie .Les visiteurs Européens, Américains et internationaux connaissent bien la réponse : Ghannouchi leur parlait souvent en anglais et en Français , même si pour des raisons de souveraineté , il préfère parler en arabe dans les activités officielles .

Une simple petite question à Bechir Ben Yahmed , ami personnel de tous les dictateurs des pays africains st du tiers monde : parmi les islamistes Tunisiens et les activistes du parti la Nahdha des milliers maitrisent plusieurs langues , dont le français , l’ anglais , l’ espagnol , l’ allemand ,l’ italien , le Turk… et l’arabe, pourquoi vous avez oublié de le mentionner ?

Souad ben Salah

Document pour l’ histoire

Bechir ben Yahmed classait Ghannouchi parmi les 4 personnalités les plus infuentes du monde en 2014??

Le magazine Jeune Afrique vient de publier ( en mai 2014 ), pour la première fois, sa sélection des 50 Africains les influents d’Afrique dans le monde. Pour la Tunisie quatre noms figurent parmi cette sélection.

Béchir ben Yahmed, Président du groupe Jeune Afrique.

“Plus d’un demi siècle après sa fondation à Tunis, en 1960, l’hebdomadaire Jeune Afrique demeure la référence de la presse africaine. Celui qui fut à 28 ans ministre de l’information du président Bourguiba, avant de passer de l’autre côté du miroir, est devenu une institution auprès de qui nombre de responsables politiques d’Afrique francophone sollicitent discrètement conseils, avis et influence.”

Rached Ghannouchi, Président d’Ennahdha.

“Celui dont on murmurait à peine le nom sous Ben Ali a patiemment cultivé sa réputation sur le terreau de la fraternité pan islamiste. Rached Ghannouchi 72 ans, compte parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde, selon le classement 2012 du magazine TIME. Il doit son ascension, dans les années 1990, à son rapprochement avec les courants extrémistes, dont celui du Soudanais Hassan al-Tourabi, et à son rôle de conseiller auprès du Front Islamique du Salut (FIS) en Algérie.”

Malika Zeghal, Universitaire et Politologue

“Jusqu’en janvier, Malika Zeghal, 49 ans, était surtout connue dans les cercles académiques français et nord-américains. Jusqu’à ce que son nom circle, dans les semaines précédant la formation du gouvernement de technocrates e Mahdi Jomaa, pour le poste de ministre de l’Enseignement Supérieur.

Professeur à la prestigieuse université Harvard, rattachée au programme d’études islamiques soutenu par le prince Al Walid Ibn Talal”.

Tarek Ben Ammar, Homme d’affaires

“Il se définit comme “citoyen du monde et des trois livres”. Ce que confirme son carnet d’adresses, qui réunit les magnats Leo Kirch (Allemagne), Ruper Murdoch (Australie) et Naguib Sawiris (Egypte), le groupe sud-africain Richemont et les cinéastes français jean-jacques Annaud et Roman Polanski.

Mais c’est grâce à ses amitiés indéfectibles avec le saoudien Al-Walid ibn Talal et l’ancien président du conseil italien Silvio Berlusconi que Tarek Ben Ammar, 64 ans, s’est forgé un nom dans les milieux des affaires”.

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